Un séparatiste, un maniaco-dépressif, un ex-alcoolique et un antisémite, voilà comment Pierre Péladeau fut introduit par certains journalistes de la presse anglophone. Au Québec, ses nombreuses conquêtes amoureuses et les journaux à potins qu'il publiait retenaient davantage l'attention. Dix ans après la mort du personnage, un portrait de l'éditeur s'imposait. Un portrait non autorisé et révélateur du baron de la presse et de son empire.